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Selon une charte de 1182, l'abbaye Saint-Symphorien de Beauvais possède des hôtes d'Allonne, c'est-à-dire qu'elle touche les taxes et impôts que versent ces habitants. Ce lien avec l'abbaye Saint-Symphorien explique facilement le deuxième vocable de l'église.

L'église a été construite principalement au cours du XIIème siècle dans le pur style roman de la région. Trois siècles plus tard, deux chapelles latérales seront ajoutées et l'édifice aura alors une forme de croix.

Au début du XVIe siècle, un colporteur aurait rapporté de Cahors une statue de la Vierge pour son épouse qui disparut et réapparut à plusieurs reprises près d'un buisson d'églantine où sera édifié cette église.

L’église a été construite dans le cadre d’un concours organisé par l'évêché de paris en 1823, avec l’accord de la ville de Paris. Il fut remporté par Hippolyte Lebas. Les travaux ont lieu de 1824 à 1836. L'église est consacrée le 15 décembre 1836 par Monseigneur de Quélen. Le quartier que l'on appelle les Porcherons avait commencé à se peupler à la fin de l'Ancien Régime. Il était alors rattaché à la paroisse de Saint-Pierre-de-Montmartre. Notre-Dame-de-Lorette est l'une des 39 paroisses qui furent instituées par Mgr de Belloy en 1802, mais les fidèles durent se contenter d'une église provisoire jusqu'en 1823 avant la construction de l'actuel édifice.

Construite en 1976 par l'architecte Clovis Normand afin d'accueillir le reliquaire de la Sainte-Chandelle (il s'agit du cierge que la Vierge a donné à Arras aux menestrels Itier et Normand en 1105 pour guérir les habitants d'Arras du Mal des Ardents). On ne sait pas exactement ce qu'était le mal des ardents. D'après les récits qui nous sont restés, le Mal brûlait ceux qui en étaient atteints et les rongeait petit à petit. Souffrant d'une chaleur interne atroce, ils étaient pris de convulsions, de délires, de cécité, le tout parfois aggravé d'éruptions cutanées. Aujourd'hui encore on s'interroge sur la nature exacte de cette maladie. Comme le Mal des Ardents survenait surtout en période de famine, certains l'identifient à l'ergotisme (troubles consécutifs à l'ingestion de pain issu de farines avariées).

En 1882, l'abbé Debras songeait déjà à édifier un sanctuaire dédié à la Vierge Marie. Voyant l'état déplorable du quartier dit du " Cailloux ", il entend faire écho à la dévotion mariale de l'abbé G. Bellanger (1861-1902) au sein de cet espace quelque peu isolé, au nord de la ville, tout en rendant hommage à la Patronne des soldats. N'ayant jamais vu l'aboutissement de son oeuvre, c'est l'abbé Debout qui reprend les travaux dès 1906. La nouvelle paroisse se dote donc d'un vicaire, l'abbé Peugnet, qui lança le bulletin « Notre-Dame des Armées » et une souscription afin de recueillir des fonds pour continuer les travaux de l'église.

Le monastère des Blancs-Manteaux fut fondé en 1258. De 1685 à 1690, le monastère et son église furent rebâtis pour abriter le noviciat des bénédictins de Paris , siège d'un foyer d'érudition. Couvent supprimé et église vendue en 1796. Réouverte par décret gouvernemental en 1800 et achetée par la Ville de Paris en 1807, elle passe d'église conventuelle à église paroissiale. Le bombardement du 26 août 1944 endommagea les vitraux et l'orgue. Depuis, l'instrument a été refait et les vitraux remplacés par des nouveaux figurant les grands moments de l'histoire des Blancs-Manteaux. A l'exception de l'église, le presbytère est le seul élément conservé du couvent.

Construite au XIXème, débutée en 1834 et terminée en 1848.

Cette église est la plus ancienne de Figeac, bâtie après un miracle. L'édifice actuel est daté du XIIème siècle. Prise par les protestants au XVIème siècle, elle sera alors transformée en fort de guerre, puisqu'elle domine tout le vallon.

La Cotinière avait eu deux chapelles successives avant l'édification de celle-ci, sur un nouvel emplacement, par l'architecte Kieffer, frère du curé de l'époque, de juillet 1966 à avril 1968.