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L'église, dont le chantier a commencé au XIe siècle et se poursuit encore aux XIIe et XIIIe siècles, est gravement endommagée par les forts séismes qui ont touché la région en 1477 et 1490. Elle connaît des remaniements importants au XIXe siècle: l’ingénieur Ratoin reconstruit un nouveau clocher occidental dans les années 1823-1827 et Aymon Gilbert Mallay dirige la seconde campagne de restauration en 1843, reconstruisant notamment la tour de la croisée du transept.

Travaux commencés en 1629 à l'initiative de Louis XIII qui souhaitait remercier la sainte Vierge pour ses victoires militaires. Cet édifice créé par Pierre Le Muet pour les Augustins déchaussés qui lui en confièrent la construction : celle-ci, très lente, faute de fonds, se poursuivit avec Sébastien Bruand, R. Boudin, puis Gabriel Le Duc (1663) pour n'être terminée qu'en 1740 par Cartaud (façade). À la Révolution, l'église, privée de ses religieux, devint le siège de la Loterie nationale puis Bourse des valeurs sous le Directoire. Elle fut rendue au culte en 1802, puis érigée en basilique par le pape Pie XI en 1927. Une dévotion très importante au Coeur immaculé de la Sainte Vierge-Marie a été développée par la création d'une Archiconfrérie au XIXe siècle par l'abbé Desgenettes, curé de la paroisse.

L’église est consacrée au XIe siècle par le pape Urbain II. Elle est consacrée à Saint Eutrope, premier évangélisateur de la région dont le tombeau est situé dans la crypte. En 1186, un bref apostolique du pape Léon XIII demande l’érection de l’église en basilique mineure. La nef est détruite en 1803. La façade actuelle est réalisée en 1831 par l’architecte Prévôt. Par la suite, en 1844, le clocher est restauré par un autre architecte nommé Clerget. Un an plus tard, la crypte est déblayée car auparavant elle a était plusieurs fois comblée.

Edifice lié à l'histoire de la dévotion à saint Quentin, dont il contient les reliques objet d'un culte important au Moyen Âge. Sa construction est contemporaine de celle de Notre-Dame de Paris et de la Cathédrale de Soissons.

Edifice daté d'entre le XII et le XIII ème siècle, faisant partie d'un ensemble constituant un sanctuaire. Le site de Rocamadour est un des plus beaux sites de pèlerinage majeurs au Moyen-Age, déjà. Au XIXème, suite au délabrement du sanctuaire, les évêques décident de restaurer entièrement le site.

La collégiale est un chef-d’oeuvre d’architecture romane. La construction de l’édifice commence à partir de 1170, et, en 1096, au cours du passage d’Urbain II, le chevet était majoritairement construit et les tribunes du transept commencées. Mais les travaux ralentirent et la nef fut seulement terminée au XIVe siècle. Les travaux de restauration entrepris par Viollet-le-Duc commencèrent en 1860. La Commission des Monuments Historiques décida en 1979 et 1989 de “dérestaurer” l’édifice, les interventions de Viollet-le-Duc étant sujets à de nombreux débats.

Eglise du Xxème, dont la construction débute en 1929, mais connaît un ralentissement avec la Seconde Guerre Mondiale. Elle est épargnée par les bombardements.

Edification débutée en 1213. Elle connaît plusieurs incendies successifs pendant sa construction. Elle s'achève vers 1450, moment auquel les Français reprennent la ville aux Anglais.

Eglise édifiée entre le XIII ème et le XIV ème siècle, selon les modèles gothiques du Nord de la France. L'édifice fut grave endommagé par les Huguenots en 1657.

Construite au début du XVIIIème, elle est d'abord église paroissiale avant de devenir basilique en 1952, puis cathédrale 37 ans plus tard.